blog de yves le mestric
 
Je veux travailler
Je viens de recevoir, parmis mes 450 spam de la nuit, un mail du site "je veux travailler dot com". Une foule d'éléments liés au monde du travail me reviennent à la mémoire. Listing.
Tout le monde veut travailler, mais la question que l'on pose peut également être: "puis-je travailler?" Non pas qu'il faille demander l'autorisation à quelques uns (quoique, parfois, le cadre réglementaire impose une (rajout) reglementation, lois héritée de la dictature de Vichy et jamais remises en question par la soi-disante démocratie française); mais qu'il est nécessaire de se placer sur les capacité de l'entreprise à faire travailler les gens. Puis-je travailler dans cette entreprise. A qui pose-t-on la question ? A l'employeur, évidemment, pas à ceux qui font les lois sur les 35 heures.

Un beau jour, un jeune était venu me voir en me disant "je veux travailler dans l'informatique", pas de formation, exceptée celle d'autodidacte qui parfois est la meilleure, pas de réelle expérience du monde du travail. Ce jeune, dans un pays anglo-saxon aurait du travail en quelques jours, en France, ça se trouve, il cherche toujours.

Phil Knight, dans le film de Mikael Moore, The Big One, disait, alors que M.M. lui reprochait de ne pas fournir d'emploi aux américains (de délocaliser la production quoi): " Les américains veulent un salaire, mais ils ne veulent pas fabriquer des chaussures." - Nonobstant les conditions de travail déplorables en Indonésie modifiées suite à l'intervention de M.M.

Les employeurs ont plus de mal à recruter en France (j'en parlais ici), ou le chomage est élevé qu'au R.U. Le recrutement est beaucoup plus éloigné du taux de chomage que ce que les intellectuels de gauche voudraient. Il faut sans doute le lié avec le droit du travail, plus souple dans les pays à faible taux de chômage. Quand on peut licencier facilement, on hésite moins à embaucher.

Ce n'est pas l'informatique qui à créé du chômage, comme aiment à le laisser entendre certain intellectuels (d'extrême) gauche du monde diplo.

Je n'arrive pas à comprendre tout ce que dit Segolène Royal quand elle melange les concepts entre la flexibilité des entreprises et le besoins en emplois qui devient "flexibilité des emplois".


Fuzz

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Commentaires
1.   Chacha  ›  vendredi 9 mars 2007 à 11:11

En tout cas dans l'informatique, on a tendance a virer les vieux! Mon père en a fait les frais il y a 4 ans avec sa boîte de services. On ne veut pas former les vieux et on embauche les petits jeunes qui sont tout frais et moins chers!

 
2.   yves  ›  vendredi 9 mars 2007 à 11:31

Très bonne remarque.
En france, on ne gère la merde que quand elle devient insuportable. On anticipe rien. Quitte à y jetter ceux qui n'y sont pas encore.
Les questions élémentaires: les besoins des entreprises, les coûts de formations, les orientations de carrières, aucune de ces questions ne sont franchement abordées selon le principe du "think global, act local". Les seules réponses sont le traitement social du chomage et de la misère, qui générèrent plus d'assistanat que de réelles réalisations personnelles en lien avec la réalité.
"Il vaut mieux penser le changement que changer le pansemen". Pierre Dac

 
3.   Jean michel jarre  ›  lundi 12 novembre 2007 à 10:56

slt ...je mapell mohamed chouchene je cherche un travaille dans une enterprise ou un societe je un 2 diplômes informatique
* agent de bureau et informatique gestion
* informatique general

mon n° : +216 95 818 642

..Wonderful life ..

 
4.   Jean michel jarre  ›  lundi 12 novembre 2007 à 10:58





+ 216 818 642

 
5.   Jean michel jarre  ›  lundi 12 novembre 2007 à 11:00

Mon N ° : +216 95 818 642

 
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