Sous cette appellation, nombreux doivent se demander de quelles entreprises peut-on parler. Pour ma part, j'y mettrai Alcoa (aluminium), General Eletric (conglomérat industriel), DuPont (chimie), Caterpillar (matériel de chantier), BP America (pétrole) et Lehman Brothers (finances). Non pas que je cataloguerais ces sociétés de manière arbitraire (pays d'origine, CA etc), mais en fonction de ce qu'elles font. Et en plus ce ne sont rien que des entreprises américaines.
Déjà que je parlais de la capacité d'adaptation des USA à leurs environnement économique, ces propos sont encore confirmés. Selon l'Expansion, ces sociétés américaines feraient pression sur W pour qu'il prenne des décisions dans le domaine de la réduction des gaz à effet de serre. Et oui: pression sur W! Venant de la part de grandes entreprises américaines, ça pourrait surprendre plus d'un français. Les idées reçues ont toujours eu la vie longue ici. Car pendant que les sociétés aux USA participent activement à la vie de la collectivité sans argent public et avec sérieux, en France le CCFA, Comité Français des Constructeurs Automobiles indique que rouler avec de l'huile végétale est dangereux pour les moteurs. Marrant, ça fait 15 ans que ça fonctionne bien dans la pluspart des pays Européen, il y a même une directive qui le préconise (non respectée par la France, évidemment). De plus, l'état Français avait interdit à la Communauté de Communes du Villeneuvois (Lot-et-Garonne) d'utilisiter des huiles végétales pures pour les véhicules des collectivités locales. (Ils ont gagné leur procès contre l'Etat, le 13 décembre 2006). Parrallèlement, Villepin donne €400 millions aux construteurs automobiles pour la R&D, à priori sans oléagineux, car ces derniers considèrent que c'est dangereux. On est loin de l'indépendance d'esprit des américains... et par conséquent de leurs résultats.


Fuzz

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