Lors du referedum sur la constitution européenne du 29 mai 2005, les nonistes avançaient de nombreux arguments plus ou moins inventés, notamment le risque d'abolition du droit à l'avortement parceque l'article II-62 stipulait que "chacun a droit à la vie" et que cette phrase est le mot d'ordre des mouvements anti-avortement. Las, à la lecture du dernier livre de J.E. Stiglitz, une autre interprétation de cette phrase parait évidente et montre que les tenants de "l'anti-liberalisme" n'ont fait que se replier sur eux-même (leurs acquis sociaux) par peur de construire l'avenir, une tà¢che qui doit leur être trop ardue.