En lisant le dernier roman fleuve de Jim Harrison, un détail frappant me vint à l'esprit.
En effet, au fil de son livre, Jim Harrison se délecte à décrire le contenu des repas des personnages qui évoluent dans un univers embrumé bien particulier à ce fils de Baudelaire. A penser que les Américains, déjà complexés par rien - quelle chance, sont les seuls à pouvoir s'empiffrer de trucs pas bons tout en assumant le plus tranquillement du monde. La dessus, plusieurs hypothèses peuvent venir à l'esprit:
  • 1 - Les américains aiment les trucs pas bons
  • 2 - La dominante protestante dans la société les condamnent à ne pas éprouver de plaisir lors des repas
  • 3 - Il s'agit uniquement du personnage de Jim Harrison qui mange comme un tordu - déjà qu'il est pas mal à l'ouest.
  • 4 - Encore une idée pré-conçue ridicule
  • 5 - Faudrait que j'essaye cette tambouille
    Quand on sait que le sieur Harrison est critique cullinaire, je pense quand même pour la solution 3, sinon...


    Fuzz

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